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grand remplacement - Page 3

  • Pendant que les gilets Jaunes se font matraquer, Macron et son gouvernement hâtent le "grand remplacement " .

    SUBMERSION ET SUBVERSION MIGRATOIRE

     

    Dans l’incapacité de prendre durablement le pouvoir par en haut, à l’occasion d’un coup de force à la façon d’octobre 1917 en Russie, ou d’un coup d’État institutionnel à la façon du sieur Macron en 2017, messianiques et illuministes (trotskistes freudo-marxistes et attaliens antinomistes anarcho-capitalistes) ont opté pour la subversion de la nation et de ses institutions par le bas. C’est-à-dire par la submersion sous un tsunami de migrants, faux réfugiés et faux mineurs fuyant la guerre, l’oppression ou cherchant un meilleur avenir. Submersion imposée au prétexte cousu de fil blanc qu’il existerait un sacro-saint droit/devoir d’asile inscrit dans le code génétique de la République et s’appliquant à tout un chacun sans la moindre discrimination. Autrement dit, sans exclusive venant contredire l’universalité granitique des nouvelles Tables de la Loi qu’est la charte des Droits de l’Homme de 1948… (dont René Cassin, maçon sans tablier, prix Nobel en 1968 (tiens donc !), sous la houlette de la pionnière lgébétiste Eleanor Roosevelt, fut le nouveau Moïse à la suite des constituants de 1789). 

    Un déferlement rendu nécessaire (voire obligatoire suivant la sophistique en usage dans des classes dirigeantes) à la suite de la dépénalisation de l’avortement devenu après janvier 1975, une liberté fondamentale coûtant annuellement, en moyenne à l’Hexagone, trois cent vingt mille naissances (une IVG pour quatre accouchements). Un lourd déficit démographique qu’induit de façon permanente cette formidable avancée sociale (sur laquelle aucun retour en arrière n’est envisageable !) qui constitue un imparable prétexte à l’ouverture des frontières. Raison pour laquelle, un an après l’ouverture des avortoirs, par décret du 29 avril 1976, le regroupement familial était instauré par le couple infernal Giscard/Chirac, le ministre du Travail étant alors le célèbre Michel Durafour. 

    Politique qui transforma ipso facto l’immigration temporaire de travail (désigné non sans raison par les marxistes comme « l’armée de réserve du Capital ») en immigration de peuplement… donnant, le coup d’envoi à l’actuel et cataclysmique Grand Remplacement. Assez stupidement les politiciens (des liquidateurs professionnels) crurent (ou firent mine de croire) que nous goberions en sus les autres prétextes allégués : à savoir que les migrants abonderaient les caisses de retraite.

    Aujourd’hui, selon l’INSEE, 60 % des nouveaux arrivants en âge et en capacité de travailler, seraient au chômage et par conséquent, à la charge de la collectivité!

    En 2018, environ 255 000 migrants se sont officiellement présentés à nos portes, et sur les quelque 60 000 demandes d’asile (100 000 en 2017) déposées au cours des sept premiers mois de l’année 2018, 70 % étaient de faux demandeurs, qui, déboutés, n’ont et ne seront jamais renvoyés.

     

    COQUECIGRUES ET AUTRES BILLEVESÉES MEURTRIÈRES

     

    Parmi les coquecigrues et autres billevesées meurtrières qui, dans une société bien faite, seraient inaudibles, objets de dérision ou tomberaient sous le coup de la loi, l’une d’entre elles consiste à prétendre que l’immigration nous enrichirait. Une thèse aussi absurde que stupide bien résumée par Mitterrand dans la formule emblématique : « Une chance pour la France »…

    Malheureusement cette chance ineffable a un prix qui se compte en plusieurs dizaines de milliards, nul ne sait ni ne veut vraiment savoir… Un gouffre insondable où se déversent la politique de la ville, le rattrapage scolaire, les zones de priorité, les couvertures sanitaires universelles, les pensions versées dans tous les bleds et les douars du bout du monde, les fraudes multiples et le coût pharamineux des institutions judiciaires et pénitentiaires. Sujet proscrit, objet d’un interdit idéologique majeur qui, s’il était abordé sans tabou, donnerait le tournis mais également les moyens ( à la hauteur d' au moins 100 milliards d' euros) de renflouer nombre de secteurs déficitaires et de services publics en  grande souffrance.

    Si Macron parvient — ce que nous ne lui souhaitons surtout pas — à la fin de son mandat, ce seront deux millions d’allochtones de plus qui au bas mot se seront, au bout de ce maudit quinquennat, installés chez nous…À l’invitation de nos gouvernants et de notre si belle et si humaine bobocratie.

    Pourtant, même l’ancien ministre du sieur Sarkozy Brice Hortefeux, découvrait ce 27 janvier 2019 [BFMTV] que notre pays ne détient « ni la capacité ni la nécessité » d’accueillir tout ce beau monde débordant de vie (habité par des appétits torrentueux) qui grignote silencieusement des parts du marché démographique… et bientôt politique. D’aucuns, mal intentionnés, sont aller jusqu’à évoquer un djihad par les urnes ! L’idée d’une subversion démocratique par le nombre n’est évidemment pas à exclure et une fois le point de basculement atteint, rien n'exclut que la France puisse devenir la fille aînée de l'Islam dont la tendance n’est pas à la modération si l’on en croit le durcissement sensible de sa pratique collective dans les trois pays du Maghreb. 

    In fine, le communautarisme exclusiviste aidant, cette société, pour aimablement bigarrée et plurielle qu’elle a été imaginée au départ par des idéologues ahuris, devrait assez vite aboutir — en toute logique — à une situation comparable sinon semblable à celle prévalant en Afrique australe, notamment dans le monde rural : au mieux nous pourrions d’ici trois décennies être conviés à descendre du trottoir ; au pire, le choix nous sera gracieusement offert entre la valise et le cercueil. Les Français d’Algérie ont déjà connu cela, et l’histoire bègue affichera à la commissure de ses lèvres tremblantes, la bave sanguinolente de tous les renoncements. 

     

  • Macron et son gouvernement : provocation, mépris et dénigrement des français .

     

    ALORS que le mouvement des gilets jaunes dure depuis bientôt trois mois, le président de la République, loin d’écouter la colère, le désarroi et la détresse de ces Français qui n’en peuvent plus de conditions de vie de plus en plus détériorées, multiplie les provocations verbales et continue à se moquer du monde, preuve que ce monstre technocratique est sans cœur, sans principe et sans honneur. « Si être Gilet jaune, c’est vouloir moins de parlementaires et que le travail paie mieux, moi aussi je suis Gilet jaune », a ainsi déclaré Emmanuel Macron le 31 janvier devant des journalistes du Système lors d’un entretien au coin du feu. Pire, il s’en est pris ouvertement aux manifestants qui ne sont, selon lui, que « 40 à 50 000 militants ultras qui veulent la destruction des institutions ». D’ailleurs, selon Paris-Match, présent lors de ces confessions, Emmanuel Macron assure ne pas croire aux sondages relayant que plus de la moitié des Français (69 % selon le dernier sondage BVA) soutiendraient cette colère. Ce qui est une façon de nier la réalité et de mépriser la vox populi.

    L’homme qui nous tient lieu de chef de l’Etat s’est également fermement opposé au principe de « votations populaires » comme elles existent dans la Confédération helvétique après avoir déjà rejeté la mise en œuvre du Référendum d’initiative citoyenne, le fameux RIC. « On n’est pas du tout fait pour ça, a déclaré péremptoirement l’Elyséen.

    La France n’est pas la Suisse et la Suisse ne marche pas aussi bien qu’on le pense. Le modèle suisse est inadapté. La Suisse, c’est 6 millions de personnes. Et d’ailleurs les Suisses, comme disait je ne sais plus qui, ils commencent toujours avec des questions de gauche et ils finissent avec des réponses de droite. » On ne saurait exprimer avec plus de force et de morgue le mépris du peuple et le refus de lui donner réellement la parole, de répondre à ses craintes, à ses demandes, à ses aspirations. Si le peuple pense à droite, il ne faut surtout pas lui donner la parole. Pis, s’il pense mal, il faut le dissoudre, lui, et non l’Assemblée !

     

     Que ce soit Macron ou un autre, jamais le pouvoir oligarchique, pro-migrants et pro-LGBT, ne rendra la parole au peuple.

    Ni sur les sujets dits sociétaux et civilisationnels, ni sur les grandes questions qui déterminent l’avenir de notre nation, ni sur un programme de véritable justice sociale. Alors que les gilets jaunes demandent simplement à pouvoir vivre de leur travail, à se nourrir, à se chauffer, à se soigner, à élever leurs enfants dans des conditions décentes et qu’on cesse de leur pourrir la vie avec la multiplication incessante des taxes, des impôts, des radars, de dogmes écologiques, de législations liberticides bridant chaque jour davantage les libertés de circuler, de s’exprimer, de manifester, Macron envisage de coupler les élections européennes du dimanche 26 mai avec un référendum portant sur des questions aussi vitales que l’éventuelle diminution du nombre de parlementaires ou la limitation dans le temps du cumul des mandats ! Peut-on davantage mépriser le peuple ? Peut-on manifester de manière plus cinglante, plus radicale que l’on n’a cure de ce cri de détresse d’un peuple qui ne veut pas mourir ?  

    Après avoir promis de distribuer quelques misérables pièces jaunes le 10 décembre, ayant alors senti le vent du boulet, après avoir organisé un débat national complètement pipé avec des maires complaisants soigneusement sélectionnés, et où toutes les questions essentielles n’ont pas droit de cité (ni l’immigration, ni le rétablissement de la peine capitale, ni l’abrogation des lois anti-familiales et immorales, ni le rétablissement du franc et la sortie de l’Union européenne, ni le poids excessif et délétère des banques et de la finance internationale), Macron entend neutraliser la colère populaire en organisant un référendum totalement bidon où ne seront posées que des questions totalement subalternes et sans aucun rapport avec la souffrance réelle et profonde d’un peuple qu’on nie dans son existence, qu’on n’entendait jamais jusque-là à la télévision et à la radio où ne sont promues que des minorités (très) visibles voire ostentatoires et qu’on est en train d’assassiner et de remplacer. D’assassiner par le refus d’encourager une politique familiale et nataliste ambitieuse, par la promotion dès l’école de toutes les déviances, par la diffusion massive de la pornographie. De remplacer par une immigration de peuplement qui se substitue chaque jour davantage dans les villes, dans les quartiers, dans les maternités, dans les administrations, dans un nombre grandissant de corps de métiers aux Français de souche.

     

    NOTRE PEUPLE, on ne le dira jamais assez, subit à la fois aujourd’hui le Grand Remplacement, le Grand Déclassement et le Grand Effacement.

    Le Grand Remplacement, on l’a dit, par une immigration de masse qui modifie chaque jour davantage la substance du pays et jusqu’à la composition de nos rues et de nos paysages.

    Le Grand Déclassement par la paupérisation des classes moyennes et des catégories populaires qui ont de plus en plus de mal à finir leur fin de mois.

    Et enfin le Grand Effacement car ce peuple n’est nullement représenté dans les institutions et palais de leur République, non plus que sur le petit écran où l’on ne voit que des militants LGBT, des allogènes et des membres d’une communauté étoilée.

    Alors que la France est le pays d’Europe qui a à la fois sur son territoire la communauté juive et la communauté mahométane la plus nombreuse, les Français de souche, les Gaulois tendent chaque jour davantage à disparaître.

    Si les radars automatiques les traquent sur les routes et les autoroutes, ils ont en revanche totalement disparu des radars du gouvernement tellement ils sont absents des préoccupations d’un pouvoir oligarchique qui n’a au contraire de cesse de les domestiquer, de les martyriser, de les culpabiliser et de les remplacer. 

    Sait-on suffisamment qu’il existe une délégation ministérielle spécialement chargée de traquer tous les Français lucides et traités comme des délinquants de la pensée ? Il s’agit de la DILCRAH (c’est presque pareil que la LICRA tant au niveau des principes que de la sonorité !), la Délégation interministérielle à la lutte contre le Racisme, l’Antisémitisme et… la Haine anti-LGBT !

    Non, vous ne rêvez pas, les pouvoirs publics mènent une guerre de chaque instant contre leur peuple : si celui-ci refuse l’immigration de masse, il est accusé de racisme, s’il en a plus qu’assez des culpabilisations incessantes et de l’obsession autour de la dernière guerre, il est suspecté d’antisémitisme, le crime des crimes, et s’il trouve que le lobby LGBT en fait quand même trop et que cela devient insupportable, il est accusé d’homophobie, autant de délits passibles de fortes amendes,  de peines de prison ferme et d’une relégation sociologique et professionnelle bien réelle.

    Ce n’est donc pas seulement Macron qu’il faut destituer, c’est cette République criminelle, ce régime abject et contre-nature qu’il faut balayer. Il en va de la survie de notre peuple, de notre nation, de notre civilisation.

     

  • La lettre aux Français de Macron : mépris, arrogance et enfumage à tous les étages !

     

     En France, lorsqu’on veut se débarrasser d’une difficulté majeure, dégonfler un mécontentement, enterrer une revendication, on crée une commission ou on lance un grand débat...

    On se souvient que pour ne pas avoir à réformer le code de la nationalité selon le principe du droit de filiation, contrairement à ses promesses de campagne solennisées dans la plate-forme RPR-UDF de 1986, le gouvernement de cohabitation de Jacques Chirac avait institué la commission Marceau-Lang qui avait maintenu le principe désastreux du droit du sol, assurant ainsi la création annuelle de centaines de milliers de Français de papier. De même Nicolas Sarkozy, avait-il lancé un grand débat sur l’identité nationale pour mieux enfumer le public, lui faire accroire qu’il prenait les choses en main, qu’il allait enfin conduire une politique ferme et audacieuse visant à maîtriser réellement les flux migratoires, en réalité il ne s’agissait que d’une énième entreprise de manipulation de l’opinion. 

    De la même manière la lettre adressée aux Français par Emmanuel Macron le 13 janvier au soir et destinée à ouvrir le « grand débat national » qui doit se dérouler jusqu’au 15 mars, soit deux mois et demi avant les élections européennes, est une totale escroquerie et un signe de plus du mépris et de l’arrogance de l’Exécutif à l’égard du peuple. 

    D’abord les sujets les plus fondamentaux pour la survie de notre peuple et de notre nation sont laissés de côté. On prétend assurer une réelle liberté de parole et d’expression alors même que d’ores et déjà on délimite les sujets que le peuple aura le droit d’aborder. Contrairement à ce qu’il avait semblé concéder lors de son message télévisé du 10 décembre dernier, où il était manifestement apeuré, la question de l’immigration ne fait pas partie des seuls quatre thèmes autorisés du débat et qui sont : l’impôt et la dépense publique, l’organisation de l’Etat, la transition écologique, la démocratie et la laïcité.

     

    ET IL N’EST pas question pour le chef de l’Etat d’arrêter, et encore moins d’inverser, le courant de l’immigration dans notre pays alors même que nous connaissons un chômage massif, un endettement spectaculaire, que nous subissons des impôts et des taxes écrasants voire confiscatoires (que le chef de l’Etat ne propose pas de diminuer), une montée continue de la délinquance et du crime et des actes terroristes à répétition.

    « La citoyenneté, écrit Macron dans sa missive, c’est aussi le fait de vivre ensemble. Notre pays a toujours su accueillir ceux qui ont fui les guerres, les persécutions et ont cherché refuge sur notre sol : c’est le droit d’asile, qui ne saurait être remis en cause. Notre communauté nationale s’est aussi toujours ouverte à ceux qui, nés ailleurs, ont fait le choix de la France, à la recherche d’un avenir meilleur : c’est comme cela qu’elle s’est aussi construite. Or, cette tradition est aujourd’hui bousculée par des tensions et des doutes liés à l’immigration et aux défaillances de notre système d’intégration. Que proposez-vous pour améliorer l’intégration dans notre Nation ? En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ? » Les Français n’ont à la rigueur le droit de donner leur point de vue que s’il entre dans le cadre d’une politique d’intégration des immigrés et d’accueil de nombreux migrants supplémentaires chaque année.

    Ce qui signifie poursuivre une politique de Grand Remplacement et, disons-le, de génocide des Français de souche.

    Car, non seulement il n’est pas question de freiner, d’arrêter ou d’inverser les flux migratoires, mais il n’est pas question non plus, le gouvernement l’a dit explicitement, de revenir sur la légalisation du mariage homosexuel, alors que cette revendication est pourtant arrivée largement en tête des revendications des Gilets jaunes sur les réseaux sociaux, non plus que sur « le droit à l’avortement ». Cela n’est pas étonnant de la part d’un pouvoir pédérastique et criminel qui ne promeut que la culture de mort et que ce qui est contre-nature. Les photos ahurissantes de Macron à la fête de la musique le 21 juin dernier avec des danseurs noirs, immigrés et LGBT, puis le 30 septembre aux Antilles avec des prisonniers noirs torses nus condamnés pour crimes en disent plus long qu’un discours sur l’inverti qui nous tient lieu de chef de l’Etat. 

     

    PAS QUESTION non plus pour le président de la République de contester si peu que ce soit le dogme et la nécessité de la transition écologique. Et ce, alors même que la colère et l’indignation des Gilets jaunes sont nées directement de l’augmentation vertigineuse des taxes sur les carburants au nom de la diabolisation, très suspecte, des énergies fossiles. Là encore, les Français ne sont pas interrogés sur la pertinence de cette mode — c’est un dogme auquel on ne peut toucher et qui ne saurait être contesté — mais sur les modalités du financement de ladite transition écologique. Peut-on se moquer davantage du monde ? 

    De la même manière, Macron prend les Français pour des imbéciles lorsqu’il vante l’exceptionnelle liberté de parole, d’expression et d’opinion dont on jouirait en France : « La France est, de toutes les nations, une des plus fraternelles et des plus égalitaires. C’est aussi une des plus libres, puisque chacun est protégé dans ses droits et dans sa liberté d’opinion, de conscience, de croyance ou de philosophie. Et chaque citoyen a le droit de choisir celles et ceux qui porteront sa voix dans la conduite du pays, dans l’élaboration des lois, dans les grandes décisions à prendre. Chacun partage le destin des autres et chacun est appelé à décider du destin de tous : c’est tout cela, la Nation française. Comment ne pas éprouver la fierté d’être Français ? » 

    Comment le chef de l’Etat ose-t-il tenir de tels propos, dans son message à la nation, alors même que les lois limitant la liberté d’expression et de recherche sur un nombre chaque jour plus grand de sujets n’ont cessé de se multiplier depuis quelques décennies : loi Pleven en 1972, loi Gayssot en 1990, loi Lellouche en 2002, loi créant un délit d’homophobie en 2004, loi visant à exercer un contrôle strict des réseaux sociaux, création de la DILCRAH (Délégation interministérielle à la lutte contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT),  loi sur les fake news, etc.

    Et que de surcroît la répression des manifestants est de plus en plus féroce et la dramatisation des faits les plus anodins systématique. Les pouvoirs publics et les media à leur solde voudraient-ils légitimer le tir à balles réelles sur la foule des gilets jaunes qu’ils ne s’y prendraient pas autrement.

    On excuse, on nie ou on passe sous silence les violences et la brutalité policières mais chaque incivilité, réelle ou supposée, de gilets jaunes est systématiquement mise en évidence, stigmatisée, dramatisée.

    Cela est tout sauf innocent et contraste avec ce qui s’était passé avec les émeutes des banlieues, aux Minguettes en 1981, à Vaulx-en-Velin en 1990 et pendant le Ramadan 2005 un peu partout en France où l’on minimisait les violences, les exactions et les déprédations des émeutiers allogènes dont aucun n’a été ni tué ni grièvement blessé à l’époque par les forces de l’ordre alors que l’on compte déjà une douzaine de morts et deux mille blessés environ parmi les gilets jaunes depuis le début du mouvement.

    On ne réforme pas un régime abject, menteur et contre-nature. On le conteste radicalement et on l’abat. Le renversement de ce pouvoir rothschildien, pro-migrants et pro-LGBT est chaque jour qui passe une nécessité des plus impérieuses. Pour la survie de notre peuple et de notre nation.

    Jérôme BOURBON